ATMO Grand Est
Présentation
ATMO Grand Est, association à but non lucratif agréée par le Ministère chargé de l’environnement, est en charge de la surveillance de la qualité de l’air dans la région Grand Est, conformément à la Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie (Loi LAURE) du 30 décembre 1996 intégrée au code de l’environnement. Cette Loi donne le droit à chacun de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé.
En bref
Le cycle de gestion de la qualité de l’air, qu’il soit contraignant ou incitatif, impose aux acteurs des territoires, d’une part de connaître la qualité de l’air en tout point du territoire, et d’autre part d’identifier les stratégies de réduction des émissions polluantes les plus efficaces associées à des indicateurs de suivi les plus pertinents.
À ce titre, ATMO Grand Est déploie un système commun de surveillance et d’évaluation locale de la qualité de l’Atmosphère (Air-Climat-Énergie-Santé) intégrant l’ensemble des demandes d’intérêt général émanant des acteurs territoriaux de la qualité de l’air.
Principales actions
Afin de répondre au mieux aux enjeux majeurs que sont la protection de la santé des populations et de l’environnement, ATMO Grand Est mène les missions suivantes :
• Assurer la surveillance réglementaire de la qualité de l’air, grâce à un dispositif de mesure et des outils d’inventaires et de modélisation ;
• Informer, alerter et prévenir les citoyens, les médias et les autorités sur les niveaux de pollution ;
• Evaluer les expositions de la population de la région Grand Est et des écosystèmes à la pollution de l’air ;
• Participer à des études ou programmes de recherche pour améliorer les connaissances sur la composition physico-chimique et biologique du compartiment atmosphérique comme sur les impacts sanitaires, environnementaux, économiques et sociaux associés ;
• Effectuer une veille sur les enjeux émergents et encourager l’innovation au service de la qualité de l’air et du climat ;
• Accompagner les partenaires et déployer des outils d’aide à la décision afin qu’ils établissent des plans de gestion de la qualité de l’atmosphère, selon une approche transversale air-climat-énergie-santé ;
• Animer un réseau d’acteurs fédéré sur les différentes échelles territoriales (régionale, nationale, transfrontalière, internationale) ;
• Sensibiliser les citoyens en valorisant et diffusant les résultats acquis.