Structures d'accueil

Découvrez l'ensemble des associations, gestionnaires et collectivités inscris sur J'agis pour la nature et découvrez les activités que ces structures vous proposent pour protéger la nature
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Happyculteur
Chez Happyculteur nous voulons apporter une réponse concrète au problème de disparition des abeilles. Notre association agit sur trois aspects clés du problème :  1 - La formation L'apiculture est une pratique ancestrale qui a connu un véritable essor dès le début du 20ème siècle avec l'apparition de gigantesques exploitations apicoles réunissant plus de 500 ruches. Cela a été possible grâce à l'industrialisation, l'automatisation de l'apiculture et l'invention de la ruche dadant qui facilite le travail de l'apiculteur et permet d'augmenter la production de miel.  L'apiculture souffre des mêmes maux que l'agriculture. Les apiculteurs professionnels aujourd'hui ne protègent pas les abeilles, mais sont des producteurs de miel. La différence que l'on peut observer cependant est que les pratiques industrielles se retrouvent aussi chez les amateurs qui représentent 92,5 % des apiculteurs en France. Source. Signe que la formation initiale en apiculture n'est pas en adéquation avec la pratique amatrice et encore moins avec un objectif de préservation de l'abeille et de la biodiversité. Alors que les amateurs ne sont pas dépendant de leur récolte de miel comme source de revenu, pourquoi devraient-ils utiliser les pratiques industrielles de l'apiculture ? On estime aujourd'hui que 5 à 10 % du taux de mortalité des abeilles peut être associé à de mauvaises pratiques apicoles chaque année. 2 - Le manque de ressources mellifères Les insectes pollinisateurs et la flore ont coévolué ensemble au fil des siècles. Avec l'urbanisation qui grandit, 20m2 de terre sont artificialisées chaque seconde en France. Nous sommes en train de détruire la biodiversité végétale, tuant par la même occasion l'ensemble des insectes pollinisateurs. Au delà de tout ce que la présence de la nature dans les villes peut nous procurer comme bienfaits, il est nécessaire de repenser notre modèle d'urbanisation en y intégrant plus de végétal, si nous voulons un jour préserver la biodiversité animale et les insectes pollinisateurs en ville et à la campagne. 3 - L'éveil des consciences Plus général, cet aspect résonne de façon systémique avec les autres facettes du problème. Aujourd’hui 24 % des français jugent que l’érosion de la biodiversité est l'un des problèmes les plus préoccupants dans notre société (source) mais seulement une petite partie d’entre eux agit concrètement. Aider ces personnes à passer à l’action en changeant les modes de consommation par exemple, c’est agir sur des problèmes comme l’agriculture intensive ou l’utilisation de pesticides.

En chiffre

Chaque jour de nouveaux bénévoles passent à l'action !
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